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La rentrée des classes à Noyarey :
c’est reparti !

Ce lundi 2 septembre, les écoles de Noyarey ont accueilli leurs petits et grands élèves avec le sourire !

L’école maternelle « La Coccinelle » : 81 enfants ont retrouvé leurs camarades et leurs enseignantes dans 3 classes pleines de vie.

L’école élémentaire « Le Mûrier » : 164 élèves ont démarré une nouvelle année scolaire dans 7 classes.

Un grand merci au Sou des écoles pour avoir offert le traditionnel café de la rentrée à tous les parents. Un moment convivial pour échanger et se souhaiter une belle année scolaire !

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Des sourires pour les futurs collégiens !

Chaque année, un rituel particulier enchante les élèves de CM2 de Noyarey : la remise d’un cadeau pour célébrer la fin de leur scolarité primaire et leur entrée au collège. Une attention symbolique qui laisse une empreinte joyeuse dans leur esprit et marque avec douceur leur passage de « écoliers nucérétains » à « collégiens sassenageois ».

Un cadeau pour rire et apprendre

Cette année, mesdames Nelly Janin-Quercia, Maire de Noyarey, et Sandrine Curtet, adjointe déléguée à la jeunesse et aux écoles, accompagnées de Mme Pascale Bredeau, professeure des écoles, ont offert à tous les CM2 un cadeau original et amusant : un livre humoristique pour faciliter leur intégration en sixième.

Un présent qui les accompagnera tout au long de l’été, les préparant avec humour et légèreté à leur nouvelle vie de collégiens. Un cadeau qui, à coup sûr, leur arrachera des sourires et les accompagnera dans cette nouvelle étape de leur scolarité.

C’était aussi l’occasion de pour les deux élues de rendre hommage à Mme Véronique Perrin en lui remettant un magnifique bouquet de fleurs dans sa classe. Cet événement marquait sa dernière journée avant un départ bien mérité à la retraite. Les élèves, émus et reconnaissants, ont applaudi chaleureusement leur enseignante, qui a consacré tant d’années à leur éducation et à leur épanouissement. Une page se tourne, mais le souvenir de Mme Perrin restera gravé dans le cœur de tous ceux qu’elle a touchés par son dévouement et sa passion pour l’enseignement.

Dans le cadre d’une possible fermeture d’une classe à l’école maternelle de Noyarey par le rectorat, et suite à la mobilisation des parents, la mairie a organisé hier soir une rencontre entre les parents délégués et l’inspectrice de l’éducation nationale. Dans l’attente du résultat d’une décision prise aujourd’hui par l’Etat, nous avons souhaité vous donner les informations les plus précises possibles sur le processus d’ouverture ou de fermeture des classes.

Qui décide d’ouvrir ou de fermer des classes ?

Une ouverture ou une fermeture de classe est une mesure dite de « carte scolaire ». La carte scolaire repose sur une analyse des effectifs des élèves, à partir de laquelle sont répartis les postes d’enseignant.

Qui décide ?

Écoles maternelles et élémentaires publiques

L’ouverture et la fermeture d’une classe, dès lors qu’elles n’entraînent pas la création ni la suppression d’une école, ne nécessitent pas de décision du conseil municipal. La décision d’ouvrir ou de fermer une classe, donc d’ajouter ou de retirer un poste d’enseignant, relève du directeur académique des services de l’éducation nationale.

Comment la carte scolaire est-elle élaborée ?

La préparation de la carte scolaire dure environ un an. Elle commence dès le mois d’octobre pour se terminer dix mois plus tard dans les jours qui suivent la rentrée.

Premier degré (écoles maternelles et élémentaires)

• En octobre, des prévisions concernant les effectifs des élèves de l’année suivante sont effectuées dans chaque département par la direction des services départementaux de l’éducation nationale. Ces prévisions sont ensuite validées par le rectorat et le ministère.
  
• En décembre, le ministère notifie à l’académie le nombre de postes d’enseignants dont elle disposera pour l’année scolaire.
  
• Le rectorat répartit ce nombre de postes entre les départements, puis le directeur académique des services de l’éducation nationale décide de l’implantation des postes d’enseignants, donc du nombre de classes, dans les différents établissements du département. Cette répartition est soumise au comité technique paritaire académique (C.T.P.A.), puis au comité technique paritaire départemental (C.T.P.D.). Cette instance est appelée à donner un avis sur les mesures proposées par le directeur académique des services de l’éducation nationale. Les comités techniques paritaires sont composés pour moitié de représentants de personnels et de représentants de l’administration.
  
• Les maires sont consultés sur les mesures envisagées pour leur commune.
  
• En février, un Conseil Départemental de l’Éducation Nationale (C.D.E.N.) est réuni. Cette instance comprend, outre les membres de droit (le Préfet, le Président du conseil général) , des élus, des représentants des personnels, des usagers (parents d’élèves et associations complémentaires de l’enseignement public). Le C.D.E.N. donne un avis sur les mesures proposées.
  
• La décision définitive appartient au directeur académique des services de l’éducation nationale qui prend un arrêté en février après le C.D.E.N. Les personnes concernées reçoivent un courrier de la division du personnel de la direction des services départementaux de l’éducation nationale les informant de la fermeture du poste qu’elles occupent et les invitant à participer au mouvement.
  
• Vers la mi-mai, les directeurs d’école sont appelés à retourner auprès de la direction des services départementaux de l’éducation nationale l’état des élèves inscrits. Un CTPD est de nouveau réuni début juin, à la suite duquel certaines mesures de retrait révisable et d’affectation révisable peuvent être levées. En septembre, les derniers ajustements sont effectués au regard des effectifs constatés au jour de la rentrée. Un dernier CTPD est réuni ainsi qu’une CAPD pour l’affectation des personnels.

Source : www.education.gouv.fr